Your browser doesn't support javascript.
Show: 20 | 50 | 100
Results 1 - 3 de 3
Filter
Add filters

Document Type
Year range
1.
European Respiratory Journal ; 58:2, 2021.
Article in English | Web of Science | ID: covidwho-1708442
2.
United European Gastroenterology Journal ; 9(SUPPL 8):574-575, 2021.
Article in English | EMBASE | ID: covidwho-1490926

ABSTRACT

Introduction: Subcutaneous biotherapies (SCB) are used in the management of inflammatory bowel diseases (IBD). Aims & Methods: The aims were to evaluate the feasibility in using a medication dispense data to identify these patients and to study the impact of COVID-19 on SCB prescription. LRx contains all anonymized medication dispenses prescribed in outpatient care in a representative panel of French retails pharmacies, including data of near 40 million patients. Each patient having at least a dispense of SCB or synthetic targeted treatment reimbursed in psoriasis, IBD, and chronic inflammatory rheumatologic disease was selected in 2019. An algorithm was constructed using different steps in order to classify the patient in one of these diseases (weighted score according to the step: mono-indication or common indication shared among product, prescriber's specialist, specific tracking drugs to one of these disease prescribed prior or co-prescribed with the treatment of interest). We numbered 190,640 patients of which 16% with IBD under SCB. We described IBD population in terms of demographics, SCB and co-treatment prescribed in 2019 (at least one delivery) in 2019. The impact of COVID-19 on SCB initiation was studied during the lockdown period in France (W12-W19 2020). Results: 30,788 IBD patients were under SCB in France in 2019 (52% female;5.7%, 44.1%, 34.6%, 12.0%, 2.5% of patients split in the following age classes: 0-19, 20-39, 40-59, 60-74, ≥75 years, respectively). Patients were mainly under adalimumab (82.8%), followed by ustekinumab (11.8%), and golimumab (7.3%). Azathioprine represented the most frequent immunosuppressant delivered (19.9%) followed by methotrexate (5%). Oral and rectal corticosteroids was prescribed at least once in 2019 for 45.5 and 10.4% of the patients, respectively. Oral corticosteroids delivered at least thrice concerned 6.7% of the patients. Mesalazine and sulfasalazine were delivered for 21.5% and 0.7% of the patients, respectively. The impact of SCB initiation during the lockdown period due to COVID-19 had significantly decrease by 20% compared to 2019 (p=0.003). Conclusion: The algorithm was able to identify IBD patients under SCB and could provide meaningful information in order to describe the drug survival, the change in management at the national level (for patients followed in outpatient care, only), and the impact of COVID-19. These results need to be confirmed using another source of data containing clinical diagnosis to validate the algorithm in its ability to identify chronic inflammatory diseases.

3.
Revue du Rhumatisme ; 87:A14, 2020.
Article in French | ScienceDirect | ID: covidwho-947402

ABSTRACT

Introduction Plusieurs sociétés savantes, dont la SFR et l’EULAR, ont émis des recommandations sur le renouvellement et l’initiation des biothérapies (B) et des traitements synthétiques ciblés (TSC) pour les patients souffrant d’une maladie inflammatoire chronique (MIC) au pic de l’épidémie. Nous avons étudié le profil de délivrances de ces traitements durant la période de confinement en France. Matériels et méthodes Nous avons utilisé la source de données d’IQVIA, LTD, Longitudinal Treatment Dynamics, qui comprend les données de délivrances d’un échantillon représentatif de 45 % des officines françaises. Toutes les B/TSC prescrites par les spécialités habilitées à le faire et délivrées en ville ont été prises en considération. L’impact national des renouvellements et des initiations de ces traitements a été étudié pendant la période de confinement (Semaine S12 à S19) et comparé à la même période en 2019 à partir des données de délivrance des pharmacies ayant transmis leur donnée régulièrement pendant la période d’intérêt (36 % des pharmacies françaises). Les résultats sont présentés à partir des données brutes et exprimés en pourcentage de patients ayant eu une délivrance des classes thérapeutiques d’intérêt en 2020 comparé à 2019 utilisée comme année de référence (Fig. 1). Les classes prises en considération ont été les biothérapies (anti-TNF, anti-IL6, anti-IL17, anti-IL23), les traitements synthétiques ciblés (aprélimast, inhibiteurs de JAK), ainsi que des traitements susceptibles d’être utilisés dans les MIC, à savoir les aminosalicylés, l’hydroxychloroquine et le méthotrexate. Résultats Pendant la période S12 à S19, 48341 et 53944 patients ont eu au moins une délivrance d’un B/TSC respectivement en 2019 et 2020. La période de confinement n’a pas eu d’impact sur les renouvellements de B/TSC comparés à 2019 quelque soit le type de prescripteur ou la molécule prescrite. En revanche pour les initiations, elles ont diminué pour la majorité des classes suivantes dont les anti-TNF (−31 %), les anti-IL17 (− 50 %), les anti-IL23 (−12 %) et les TSC (−42 %) sauf pour les ant-IL6 (+152 %, augmentation concernant exclusivement le tocilizumab). Concernant les autres traitements, les initiations ont diminué pour les aminosalicylés (−7 %) et le méthotrexate (−30 %) et fortement augmenté pour l’hydroxychloroquine (+173 %). Conclusion Au pic de l’épidémie, les initiations par aminosalicylés, méthotrexate, biothérapie (sauf tocilizumab) et TSC ont fortement diminué sans impact sur les renouvellements de ces traitements. Deux molécules ont été fortement prescrites en initiation, le tocilizumab probablement lié au switch vers la voie sous cutanée et l’hydroxychloroquine dans l’hypothèse d’un effet sur la COVID-19. Les recommmandations préconisées par les différentes sociétés savantes semblent avoir été respectées pour ce qui concerne les B/TSC. Des analyses par MIC devraient être réalisées pour compléter ces données.

SELECTION OF CITATIONS
SEARCH DETAIL